Ca fait quelques temps qu'on ne me demande plus si j'ai terminé la terrasse des chambres d'hôtes. C'est curieux... Comme si, à la longue, on avait fini par croire qu'elle ne serait jamais finie...
Et bien si, figurez-vous ! Oui, incroyable, je sais. Mais il faut dire qu'on n'a pas été aidé par la météo du printemps et du début d'été. Petite retrospective.
Mi-mars : j'effectue les premiers repérages (positionnement, hauteur, emplacement des plots et fondations à faire, décapage et nivellement grossier du sol).
Début avril : grâce à mon beau-père, le chantier connaît un sacré coup d'accélérateur, le béton est coulé. (Il mettra des jours et des jours à sécher...)
11 avril : aaahh, du soleil ! J'y vais franchement : le solivage est en place, et j'effectue une première pose "à blanc", histoire de vérifier que tout va bien, avant de faire des trous partout dans les lames de terrasse...
13 avril : les protections bitumineuses qui vont bien sont posées (n'est-ce pas, Max ?), j'attaque la pose pour de vrai. (notez au passage que les niveaux sont nickel !)
Fin avril, puis mai, et aussi juin : un mur de pierre, une rambarde en chataignier et un bon gros nettoyage de chantier plus tard, on peut dire que ça y est, la terrasse est utilisable, ouf !
C'est pas loin de ce qu'on avait prévu, non ?
Bon, ne le dites à personne, mais en fait, il faut encore que je ponce et lasure les lames, et que je colle une partie de la rambarde...
